Le texte prévoit la création d’un « Etat de Nouvelle-Calédonie » et d’une nationalité calédonienne, mais pas de nouveau référendum sur l’indépendance. « Nous lançons un appel pacifique à nos forces vives pour dire stop à l’Etat s’il entend passer en force », a affirmé Marie-Pierre Goyetche, membre du bureau politique.