Plus de vingt personnes sont mortes, lundi, dont des soignants et cinq journalistes. Benyamin Nétanyahou a été contraint d’exprimer ses regrets, quand l’armée a plaidé le dégât collatéral. Mais le recours à une « double frappe », une pratique récurrente depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, affaiblit cet argumentaire.