Quatre Bulgares seront jugés cet automne à Paris pour avoir tagué des mains rouges sur un Mémorial de la Shoah en mai 2024. Trois d'entre eux sont détenus, le dernier est en fuite. Ils risquent sept ans de prison. Le parquet évoque une possible opération de déstabilisation liée aux services russes. L’acte visait aussi d'autres lieux à Paris.