Le principal parti indépendantiste a rejeté l’accord signé le 12 juillet à Bougival, en banlieue parisienne, plongeant à nouveau l’archipel dans l’incertitude. Les partisans du texte placent un maigre espoir dans le congrès du Front de libération kanak socialiste prévu le 9 août et qui aura le dernier mot.